Mes pas vont ailleurs
Auteurs   Coatalem, Jean-Luc (070)
Edition  Stock : Paris , 2017
Collation   1 vol. (280 p.)
Format   22 cm
indice Dewey   848 ecrits divers correspondance journaux intimes memoires citations discours essais entretiens
ISBN   978-2-234-08117-8
Prix   19,50
Langue d'édition   fre
Sujets   essai
biographie romancée
amitié
espion
légendes
résistance
imperatrice
amour
militaire
voyages
marins
Bretagne
Réservation
SiteNuméroCoteSection / LocalisationEtat
Bibliothèque de POURRAIN DOC-89240-05866 ED COAECRITS DIVERS / Disponible
Contient :
Prix Femina essai 2017
Résumé : Mai 1919. Victor Segalen est retrouvé mort, couché dans un petit bois, au c?ur du Finistère. Partant du mystère qui entoure la mort de Segalen, suicide  ? accident  ?, Jean-Luc Coatalem suit les empreintes de l'écrivain-voyageur, breton, comme lui, Brestois, aussi. Militaire, marin et poète, auteur d'une ?uvre labyrinthique que, de son vivant, personne n'aura soupçonnée.En 1903, Segalen pélerine sur les traces de Gauguin, aux îles Marquises. En 1905, à Djibouti, sur celles de Rimbaud. En 1909, il traverse la Chine, en jonque, en train et à cheval, et il recommencera. En 1910, il se risque dans le dédale de la Cité interdite de Pékin, derrière un séduisant jeune homme, espion et amant de l'impératrice. Puis il réside seul à Hanoi, rêve au Tibet, et achète son opium. Il meurt à quarante et un ans, dans la forêt légendaire du Huelgoat, un Shakespeare à la main, la jambe entaillée, au-dessus d'un Gouffre, loin de son épouse et de cette autre femme qu'il aime.Revisitant l'?uvre de Segalen, les lettres à ses deux amours, ses nombreux voyages, Coatalem fait apparaître les résonances, nombreuses, la complicité littéraire et l'écrivain compagnon, composant par ces prismes mêlés, le roman de sa vie, au plus près d'un Segalen vivant et vibrant.
Notes : Né à Paris , le 13/09/1959 , d’origine bretonne, Jean-Luc Coatalem est écrivain et journaliste pour différents magazines de voyage comme Grands Reportages et Géo. Dans les bagages d’un père officier, il a connu, au gré des diverses affectations, une enfance en Polynésie et une adolescence à Madagascar, longs séjours qui lui ont donné le goût de l’ailleurs et, plus tard, une boulimie de voyages et de reportages. Romancier, nouvelliste et essayiste, cet écrivain-voyageur a par la suite publié des récits bourlingueurs, comme "Mission au Paraguay" (Payot/Voyageurs, 1993) et "Suite indochinoise" (Le Dilettante, 1999, La Table Ronde, Petite Vermillon,2008), des romans drolatiques comme "Capitaine" (Flammarion, 1991) ou "Le Fils du fakir" (Grasset, 1998, Livre de Poche, 2001), et a co-signé deux albums avec le dessinateur Loustal chez Casterman. Il a été en 1992 l'un des neuf signataires du Manifeste pour une littérature voyageuse publié sous l'égide de Michel Le Bris, avec notamment Nicolas Bouvier et Gilles Lapouge. Mais Jean-Luc Coatalem s’est fait surtout connaître par son essai très personnel sur Paul Gauguin, "Je suis dans les mers du Sud" (Grasset, 2001, Livre de Poche, 2003), primé et traduit en plusieurs langues, et son ode à la géographie et à l’errance, La consolation des voyages (Grasset, 2004, Livre de Poche, 2006). Il a signé dernièrement "Il faut se quitter déjà", un récit mélancolique qui se déroule en Argentine et Uruguay (Grasset, 2008, Livre de Poche, 2009), ainsi que "Le dernier roi d'Angkor" (2010). Il reçoit le Prix Roger Minier en 2012 pour "le Gouverneur d’Antipodia" (la Dilettante).. Source : Wikipédia