L' homme qui ne mentait jamais
Compl. Titre  nouvelles
Auteurs   Lao She (070)
Payen, Claude (730)
Edition  P. Picquier : Arles , 2006
Collection   Picquier poche (Arles) N°263
Collation   1 vol. (355 p.)
Format   17 cm
indice Dewey   895 1 litteratures chinoise taiwan
ISBN   978-2-87730-831-1
Prix   9
Langue d'édition   chi
Sujets   nouvelles
anecdotes
analyse psychologique
dramatique
résistance
satirique
japonais
littérature chine 20ème
Asie
années 30
Réservation
SiteNuméroCoteSection / LocalisationEtat
Bibliothèque de POURRAIN DOC-89240-02074 RN LAONOUVELLES / Disponible
Contient :
14 nouvelles composent ce recueil : L'homme qui ne mentait jamais, Vieille tragédie pour temps modernes, L'ordonnance, Le crachoir de Maître Niu, Les lunettes, Notice nécrologique, Un vieillard sentimental, Ménage à trois, La Chenille, Li le Noir et Li le Blanc, La mort d'un chien, Buffle en Fer et Canard Malade, Le nouveau Hamlet, Le nouvel Emile.
Résumé : On retrouve dans ces histoires toute l'éblouissante verve mâtinée d'esprit critique de Lao She. Certaines ont l'éclat mordant de la farce bouffonne ; d'autres, ancrées de plus près dans la dramatique histoire de la fin des années trente, assombrissent leurs teintes pour évoquer la résistance contre l'envahisseur japonais.Toutes, cependant, puisent à une veine satirique qui s'étonne des dérisoires efforts des hommes pour ajuster leurs rêves avec le réel, et leur image d'eux-mêmes avec les faits.
Notes : Né le 3 février 1899 à Pékin, dans une famille mandchoue, Lao She, pseudonyme littéraire de Shu Qingchun, a été dés son enfance, plongé dans une société en pleine évolution. Après avoir enseigné pendant une vingtaine d'années, notamment en Angleterre, l’écrivain, à la suite du succès remporté par son fameux Pousse-pousse, a pu se consacrer entièrement à son œuvre. Romancier et dramaturge, il écrit de nombreuses nouvelles [une quarantaine] reprises dans Gens de Pékin, dont est extrait Histoire de ma vie. Lao She est l'un des tout premiers écrivains de sa génération. Doté d'une vive sensibilité tempérée par un exceptionnel sens de l'humour, Lao She s'est révélé un auteur de romans prolifique : le Fossé de la barbe du dragon (1951), qui lui vaut le titre d'«artiste du peuple», et un roman autobiographique inachevé, l'Enfant du Nouvel An (commencé en 1961). Entre 1946 et 1949, Lao She obtint une bourse du département d'état et alla vivre aux États-Unis. Il revint en Chine quand la République Populaire de Chine fut établie. Membre du comité éducatif et culturel du gouvernement, député au Congrès national populaire, il fut un personnage influent dans le domaine des arts et des lettres , défendant le système anti-impérialiste. Mais quand la Révolution culturelle éclata, il fut publiquement dénoncé et critiqué comme beaucoup d'autres intellectuels. On prétend qu'il s'est suicidé, le 24 octobre [?] 1966 et solennellement réhabilité en 1978.