L'oeil du purgatoire
Auteurs   Spitz, Jacques (070)
Lebman,, Serge (080)
Edition  l'Arbre vengeur : Talence , 2019
Collation   1 vol. (192 p.)
Format   16 cm
indice Dewey   843 9 oeuvres fiction francaises 1900 1945
ISBN   978-2-37941-007-9
Prix   8
Langue d'édition   fre
Sujets   anticipation
Fantastique
cynisme
surréalisme
solitude
voyage dans le temps
Réservation
SiteNuméroCoteSection / LocalisationEtat
Bibliothèque de POURRAIN DOC-89240-06817 RF SPISCIENCE FICTION / Disponible
Résumé : Vous connaissez le passé, imaginez le futur, redoutez le présent : il vous reste à découvrir le présent vieilli, ce temps inédit inventé par Jacques Spitz dans un roman phénoménal considéré comme un des classiques du roman d'anticipation français. Son héros, un peintre raté résolu au suicide, va vivre une expérience hors du commun qui te conduira où nul n'est allé : inoculé par un savant fou, un bacille s'est attaqué à sa vue et lui permet de voir le monde et les êtres tels qu'ils seront dans un futur proche. Mais ce qui n'était qu'une étrange expérience devient une aventure effarante lorsqu'il réalise que le temps se dilate et qu'il voit de plus en plus en avant. Livre haletant sur le cauchemar d'un homme seul au milieu d'un univers en déréliction, L'œil du purgatoire est un roman unique qui réussit à pousser une logique jusqu'à son extrême limite avec une audace et une intelligence qui ont laissé pantois ses admirateurs. Il était impensable de ne pas le proposer de nouveau à ceux qui croient que la littérature, mieux que n'importe quel art, doit nous permettre d'explorer les confins et les mystères de notre imaginaire.
Notes : Jacques Spitz est un écrivain français spécialisé dans la science-fiction. Né à Ghazaouet (Algérie) , 1896 mort à Paris , 1963 Il est souvent dépeint comme le père de la science fiction française, profondément imprégné de surréalisme, dans un style comparable à Pierre Boule, voire René Barjavel. On lui doit huit romans de science fiction d'un modernisme étonnant, après une période influencée par le surréalisme. Cynisme et pessimisme sont les caractères marquants de cette œuvre quasiment tombée dans l'oubli.