Mort pour rien ? |
Compl. Titre | 11 novembre 1918 |
Auteurs | (070) (440) |
Edition | Oskar jeunesse : Paris , 2008 |
Collection | Cadet. Histoire & société N°17 |
Collation | 1 vol. (45 p.) |
Format | 19 cm |
indice Dewey | 940 3 histoire premiere guerre mondiale 1914 1918 |
ISBN | 978-2-35000-331-3 |
Prix | 8,95 |
Langue d'édition | fre |
Catégories | Guerre mondiale (1914-1918) -- Ouvrages pour la jeunesse |
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Contient :
La 4ème de couv. indique : "La terrible guerre qui dure depuis quatre années prend fin. L'arrêt des combats est décidé. L'armistice entre les belligérants va être signé aujourd'hui, 11 novembre 1918. C'est le moment où les familles des soldats tombés au front peuvent enfin se dire : "Leur sacrifice n'aura pas été vain.". Rien ne serait plus stupide, plus inutile que de se faire tuer maintenant, alors que la victoire est acquise, et la paix gagnée... Dans ce roman, un soldat raconte comment ses camarades et lui ont vécu le dernier jour de la "der des der", avec la peur de mourir pour rien."
Résumé : Un récit inspiré de la bataille de la Meuse, dernière bataille de la Première Guerre mondiale. Un soldat meurt alors même que l'armistice vient d'être instauré. Au-delà de la mort absurde de ce soldat vue à travers le regard de son ami épargné, c'est aussi toute la difficulté du retour et de la réadaptation qui est évoquée, dans une France meurtrie au lendemain de la guerre.
La 4ème de couv. indique : "La terrible guerre qui dure depuis quatre années prend fin. L'arrêt des combats est décidé. L'armistice entre les belligérants va être signé aujourd'hui, 11 novembre 1918. C'est le moment où les familles des soldats tombés au front peuvent enfin se dire : "Leur sacrifice n'aura pas été vain.". Rien ne serait plus stupide, plus inutile que de se faire tuer maintenant, alors que la victoire est acquise, et la paix gagnée... Dans ce roman, un soldat raconte comment ses camarades et lui ont vécu le dernier jour de la "der des der", avec la peur de mourir pour rien."
Résumé : Un récit inspiré de la bataille de la Meuse, dernière bataille de la Première Guerre mondiale. Un soldat meurt alors même que l'armistice vient d'être instauré. Au-delà de la mort absurde de ce soldat vue à travers le regard de son ami épargné, c'est aussi toute la difficulté du retour et de la réadaptation qui est évoquée, dans une France meurtrie au lendemain de la guerre.
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