Les Persécutés & Histoire d'un Amour trouble
Compl. Titre  Los Perseguidos & Historia de un amor turbio
Auteurs   (070)
Werli, Antonio (730)
Edition  Quidam ?editeur : Meudon , 2017
Collation   1 vol. (156 p.)
Format   21 cm
indice Dewey   860 litterature langue espagnole
ISBN   978-2-37491-065-9
Prix   16
Langue d'édition   spa
Sujets   amitié
textes
obsessions
amour
animaux
Réservation
SiteNuméroCoteSection / LocalisationEtat
Bibliothèque de POURRAIN DOC-89240-05855 RN QUINOUVELLES / Disponible
Contient :
Les Persécutés : nouvelle Histoire d'un Amour trouble : court roman Rentrée littéraire Septembre 2017
Résumé : Ici, nulle forêt vierge, nul animal sauvage, nulle contrée exotique. Horacio Quiroga nous mène au cœur de la grande ville, où l’hostilité est tapie dans l’esprit des hommes et le hasard décide de bien étranges rencontres. Les Persécutés Un soir de pluie, chez son ami Lugones, l’auteur fait la connaissance de Lucas Díaz Vélez, curieux individu dont les obsessions et les raisonnements ébranleront ses plus solides certitudes. Histoire d’un amour trouble Un matin d’avril, Luis Rohán aperçoit dans une rue de Buenos Aires les filles Elizalde. Il se souvient alors de ses sentiments d’amitié pour l’une et d’amour pour l’autre, jusqu’à revivre ce qui a transformé leur relation en un jeu trouble et cruel. Publiés en 1908 à Buenos Aires, inédits en France jusqu’à ce jour, Les Persécutés et Histoire d’un amour trouble sont deux textes fondamentaux de l’œuvre de Quirog
Notes : Horacio Quiroga est un écrivain uruguayen, né à Salto , le 31/12/1878 , mort à Bueno-Aires , le 19/02/1937 L'existence toute entière d'Horacio Quiroga est placée sous le signe de la mort : mort de son père, qui, alors que le futur écrivain est âgé de trois mois se tire une balle de fusil dans la tête sans que l'on sache s'il s'agit d'un accident ou d'un suicide; mort de son beau-père, dix-sept ans plus tard, qui se suicide d'un coup de fusil sous les yeux du jeune homme ; suicide de sa première femme en 1915 ; mort enfin de son meilleur ami, Federico Ferrando, accidentellement tué par Quiroga lui-même alors qu'il manipule un pistolet. On ne s'étonnera pas que dans ce contexte très particulier les contes et nouvelles publiés par Horacio Quiroga soient placés sous le signe de cette "facilité sinistre de mourir" dont parle Victor Hugo : on citera, notamment, dans les Contes d'Amour, de folie et de mort, les nouvelles intitulées "La poule égorgée", "À la dérive", "Les bateaux-suicides", ou encore, dans le recueil Anaconda, la nouvelle intitulée "Diète d'amour", dans laquelle le héros, invité à appliquer littéralement l'adage "vivre d'amour et d'eau fraîche", meurt lentement et paisiblement de faim. Il part à Paris en 1900, où il ne reste que trois mois, à court d'argent. Il rejoint Buenos Aires, déçu par la capitale française. À partir de 1912, Quiroga s'installe à San Ignacio, dans la forêt tropicale. Atteint d'un cancer de la prostate, il mit fin à ses jours en avalant une pilule de cyanure en 1937. Source : wikipédia