Les ombres de l'histoire |
Compl. Titre | crime et châtiment au XIXe siècle |
Auteurs | Perrot, Michelle (340) Simon-Nahum, Perrine (651) |
Edition | Flammarion : [Paris] , 2001 |
Collation | 427 p. |
Format | 24 cm |
indice Dewey | 365 etablissements penitentiaires |
ISBN | 978-2-08-067914-7 |
Prix | 25 |
Langue d'édition | fre |
Catégories | Prisons -- Europe -- 19e siècle Prisons -- France -- 19e siècle Criminalité -- France -- 19e siècle |
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Contient :
Textes présentés issus d'articles de revues et d'extr. d'ouvrages Bibliogr. p. 415-417. Notes bibliogr. Index
Résumé : L'histoire a des zones d'ombre auxquelles la prison appartient. Les études qui constituent ce volume ouvrent autant de pistes pour mieux comprendre la place de la prison dans notre système pénal, en dépit de sa mise en échec constante. Les grands esprits qui se sont confrontés à ce problème (Bentham, Tocqueville...) voyaient pourtant dans la prison la clé de la régénération. Pourquoi la délinquance était-elle déjà l'objet de discours obsédants et statistiques sans fin? De quelle manière les marginaux -le vagabond, l'enfant errant- ont-ils dessiné un imaginaire social et nourri le fait divers criminel à la une de la grande presse? A l'heure où l'insécurité est plus que jamais au coeur du débat politique, où les prisons paraissent impropres à la réinsertion et à l'exercice d'une démocratie minimale, le XIXème siècle, dont les écoles n'ont pas suffi à fermer les prisons, demeure à l'horizon de nos expériences contemporaines.
Textes présentés issus d'articles de revues et d'extr. d'ouvrages Bibliogr. p. 415-417. Notes bibliogr. Index
Résumé : L'histoire a des zones d'ombre auxquelles la prison appartient. Les études qui constituent ce volume ouvrent autant de pistes pour mieux comprendre la place de la prison dans notre système pénal, en dépit de sa mise en échec constante. Les grands esprits qui se sont confrontés à ce problème (Bentham, Tocqueville...) voyaient pourtant dans la prison la clé de la régénération. Pourquoi la délinquance était-elle déjà l'objet de discours obsédants et statistiques sans fin? De quelle manière les marginaux -le vagabond, l'enfant errant- ont-ils dessiné un imaginaire social et nourri le fait divers criminel à la une de la grande presse? A l'heure où l'insécurité est plus que jamais au coeur du débat politique, où les prisons paraissent impropres à la réinsertion et à l'exercice d'une démocratie minimale, le XIXème siècle, dont les écoles n'ont pas suffi à fermer les prisons, demeure à l'horizon de nos expériences contemporaines.
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