Jours barbares
Compl. Titre  Barbarian Days, une vie de surf
Auteurs   (070)
(730)
Edition  Éditions du Sous-sol : Paris , 2017
Collection   Feuilleton non-fiction
Collation   1 vol. (521 p.)
Format   24 cm
indice Dewey   797 32 surf
ISBN   978-2-36468-181-1
Prix   23,50
Langue d'édition   eng
Sujets   roman initiatique
mémoires
récits
histoire sociale
autobiographie
art
violence
foi
enfance
surf
guerre
voyages
Catégories   Surf -- Récits personnels
Réservation
SiteNuméroCoteSection / LocalisationEtat
Bibliothèque de POURRAIN DOC-89240-04768 797.32 FINBIOGRAPHIE / Disponible
Contient :
Glossaire Rentrée littéraire 2017 Prix Pulitzer en 2016 pour Jours Barbares
Résumé : Le surf ressemble à un sport, un passe-temps. Pour ses initiés, c'est bien plus : une addiction merveilleuse, une initiation exigeante, un art de vivre. Elevé en Californie et à Hawaï, William Finnegan a commencé le surf enfant. Après l'université, il a traqué les vagues aux quatre coins du monde, errant des îles Fidji à l'Indonésie, des plages bondées de Los Angeles aux déserts australiens, des townships de Johannesburg aux falaises de l'île de Madère. D'un gamin aventureux, passionné de littérature, il devint un écrivain, un reporter de guerre pour le New Yorker. À travers ses mémoires, il dépeint une vie à contre-courant, à la recherche d'une autre voie, au-delà des canons de la réussite, de l'argent et du carriérisme ; et avec une infinie pudeur se dessine le portrait d'un homme qui aura trouvé dans son rapport à l'océan une échappatoire au monde et une source constante d'émerveillement. Ode à l'enfance, à l'amitié et à la famille, Jours Barbares formule une éthique de vie, entre le paradis et l'enfer des vagues, où l'océan apparaît toujours comme un purgatoire. Un livre rare dont on ne ressort pas tout à fait indemne, entre Hell's Angels de Hunter S. Thompson et Into The Wild de Jon Krakauer.
Notes : Né à New York , 1952 , grande figure du journalisme américain, et représentant de la "Creative Non-Fiction"américaine, William Finnegan dévoile sa propre vie à travers ce dispositif narratif en plein essor, une littérature du réel qui mêle habilement reportage, récit et autobiographie. Après avoir longtemps dissimulé sa passion dévorante pour le surf de peur que celle-ci puisse le décrédibiliser auprès de ses collaborateurs, c’est un livre dans lequel il fait le récit de cette vie de surfeur qui lui vaut le prix Pulitzer en 2016. Pour lui, le surf ne se résume pas à un sport, c’est une façon de vivre, une merveilleuse addiction qu’il faut apprendre à maîtriser, mais qui lui a permis de découvrir le monde et d’apprendre à le regarder. Il grandit entre Los Angeles et Hawaï, enfant sportif, mais aussi amateur de littérature, il devient écrivain et reporter pour le magazine The New Yorker. William Finnegan a couvert des conflits en Somalie, au Soudan, à Mexico, et dans les recoins les plus violents d’Amérique et d’Afrique du sud. Reconnu pour la rigueur de ses reportages, il s’enquière des réalités qu’il observe avec patience afin de ne pas tomber dans la simple illustration d’idées préconçues. Pourvu d’une véritable conscience sociale son travail de journaliste est tout sauf anodin. On retrouve cette même énergie dans son livre autobiographique "Les jours barbares" publié aux Éditions du Sous-sol. À travers sa vie de surfeur il dévoile cet univers mal connu et ses paradoxes tout en décrivant avec force le monde qui tourne autour de lui.