L'homme qui ne voulait pas devenir président |
Auteurs | (070) |
Edition | Éditions Intervalles : Paris , 2017 |
Collation | 1 vol. (266 p.) |
Format | 19 cm |
indice Dewey | 843 fiction francaise francophone romans nouvelles |
ISBN | 978-2-36956-053-1 |
Prix | 17,90 |
Langue d'édition | fre |
Sujets | fables comédie campagne actualité réseaux discours numérique chômage trentenaires politique manipulation médias contemporain |
|
Contient :
rentrée littéraire 2017
Résumé : 374 852 vues en quelques heures seulement. Postée sur YouTube à 5 h 56 ce matin, la vidéo faisait déjà le tour du monde. Pendant les fêtes de Bayonne, Michel, un jeune chômeur, monte sur scène lors d’un concert et se lance dans un discours enflammé contre la classe politique. Dans la foulée, poussé par l’ivresse autant que par les encouragements du public, il annonce sa candidature à l’élection présidentielle. Sa diatribe fait vite le tour des réseaux sociaux et se propage hors de tout contrôle. Devenu en quelques jours le chouchou du web puis des médias, il n’aspire pourtant qu’à retrouver sa vie paisible, entre virées nocturnes, parties de console et longues soirées avec sa mère. C’est sans compter sur ses amis, bien décidés à exploiter au maximum la chance qui s’offre à eux. D’autant que bientôt, les enquêtes d’opinion sur le candidat malgré lui commencent à s’affoler… L’homme qui ne voulait pas devenir président est un roman trépidant qui plonge avec délectation en plein cœur de l’actualité. Une comédie légère et pleine d’esprit à lire absolument avant d’élire n’importe qui.
Notes : Né(e) à : Paris , le 19/08/1982 A 30 ans je dirige une agence de presse et de communication depuis près de trois ans. Une PME d’environ 45 personnes, créée en 1999 dans le Gers et désormais « logée » dans le Lot-et-Garonne. URSSAF, inspection du travail, conflits avec la banque, DRH… sont les joies qui rythment mon quotidien de jeune dirigeant d’entreprise. Bien loin des stock-options, salaire mirobolant ou encore culbutage de secrétaire auxquels je croyais être promis en devenant à mon tour un salaud de patron (d’un autre côté ça m’arrange, mon assistant n’est pas vraiment mon type). Oui, le moins que l’on puisse dire, c’est que ces 1000 jours n’ont pas vraiment été conformes à l’image que les français se font d’un dirigeant d’entreprise. Il y a quelques semaines, l’un de mes salariés m’a dit « C’est fou, je croyais que tu étais un patron comme les autres. Je ne sais pas… Un patron quoi ! ». Sous-entendu : « Finalement, tout bien réfléchi, t’es pas vraiment un escroc en fait ». Si je n’avais pas eu l’idée avant, nul doute que cet échange à lui seul m’aurait donné envie de créer ce blog. J’ai la chance de travailler avec des gens exceptionnels dans un environnement idyllique. Et accessoirement de faire un métier passionnant. Malgré tout, l’investissement sans relâche et la pression inhérente à ce genre de poste me semblent mériter bien mieux que le traitement auquel les dirigeants d’entreprise ont droit. Créer un emploi est devenu un risque considérable, que de moins en moins de gens sont prêts à prendre. Il est plus que jamais grand temps de réhabiliter ces personnes. Pas de politique politicienne ici, mais une forte envie de partager mon expérience de jeune dirigeant de PME, de réagir lorsque les chefs d’entreprise se font traiter de voyous, mais également de m’insurger contre le comportement de certains qui ont une large part de responsabilité dans l’image déplorable dont nous pâtissons. Car là aussi, soyons honnêtes, il y a sans doute des leçons à tirer de notre très mauvaise réputation.
rentrée littéraire 2017
Résumé : 374 852 vues en quelques heures seulement. Postée sur YouTube à 5 h 56 ce matin, la vidéo faisait déjà le tour du monde. Pendant les fêtes de Bayonne, Michel, un jeune chômeur, monte sur scène lors d’un concert et se lance dans un discours enflammé contre la classe politique. Dans la foulée, poussé par l’ivresse autant que par les encouragements du public, il annonce sa candidature à l’élection présidentielle. Sa diatribe fait vite le tour des réseaux sociaux et se propage hors de tout contrôle. Devenu en quelques jours le chouchou du web puis des médias, il n’aspire pourtant qu’à retrouver sa vie paisible, entre virées nocturnes, parties de console et longues soirées avec sa mère. C’est sans compter sur ses amis, bien décidés à exploiter au maximum la chance qui s’offre à eux. D’autant que bientôt, les enquêtes d’opinion sur le candidat malgré lui commencent à s’affoler… L’homme qui ne voulait pas devenir président est un roman trépidant qui plonge avec délectation en plein cœur de l’actualité. Une comédie légère et pleine d’esprit à lire absolument avant d’élire n’importe qui.
Notes : Né(e) à : Paris , le 19/08/1982 A 30 ans je dirige une agence de presse et de communication depuis près de trois ans. Une PME d’environ 45 personnes, créée en 1999 dans le Gers et désormais « logée » dans le Lot-et-Garonne. URSSAF, inspection du travail, conflits avec la banque, DRH… sont les joies qui rythment mon quotidien de jeune dirigeant d’entreprise. Bien loin des stock-options, salaire mirobolant ou encore culbutage de secrétaire auxquels je croyais être promis en devenant à mon tour un salaud de patron (d’un autre côté ça m’arrange, mon assistant n’est pas vraiment mon type). Oui, le moins que l’on puisse dire, c’est que ces 1000 jours n’ont pas vraiment été conformes à l’image que les français se font d’un dirigeant d’entreprise. Il y a quelques semaines, l’un de mes salariés m’a dit « C’est fou, je croyais que tu étais un patron comme les autres. Je ne sais pas… Un patron quoi ! ». Sous-entendu : « Finalement, tout bien réfléchi, t’es pas vraiment un escroc en fait ». Si je n’avais pas eu l’idée avant, nul doute que cet échange à lui seul m’aurait donné envie de créer ce blog. J’ai la chance de travailler avec des gens exceptionnels dans un environnement idyllique. Et accessoirement de faire un métier passionnant. Malgré tout, l’investissement sans relâche et la pression inhérente à ce genre de poste me semblent mériter bien mieux que le traitement auquel les dirigeants d’entreprise ont droit. Créer un emploi est devenu un risque considérable, que de moins en moins de gens sont prêts à prendre. Il est plus que jamais grand temps de réhabiliter ces personnes. Pas de politique politicienne ici, mais une forte envie de partager mon expérience de jeune dirigeant de PME, de réagir lorsque les chefs d’entreprise se font traiter de voyous, mais également de m’insurger contre le comportement de certains qui ont une large part de responsabilité dans l’image déplorable dont nous pâtissons. Car là aussi, soyons honnêtes, il y a sans doute des leçons à tirer de notre très mauvaise réputation.
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