Avenue nationale |
Compl. Titre | Národní třída |
Auteurs | (070) Laferrière, Christine (730) |
Edition | Mirobole éditions : Bordeaux , 2016 |
Collection | Horizons pourpres |
Collation | 1 vol. (211 p.) |
Format | 20 cm |
indice Dewey | 891 86 litterature tcheque dialectes moraves |
ISBN | 978-2-37561-027-5 |
Prix | 19,50 |
Langue d'édition | cze |
Sujets | quête d'identité roman social roman noir compassion monologue peur drogue deuil démocratie propagande délire prisons anti-héros extrémisme communisme peintre republique tcheque |
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Contient :
rentrée littéraire 2016
Résumé : Vandam, le narrateur, est peintre en bâtiment. Il a connu la dépendance aux drogues et un séjour en prison. Il est fasciné par l'histoire militaire, voue un culte aux grands chefs de guerre et fait ses deux cents pompes par jour. Il se retrouve souvent à la taverne pour boire des bières ou se battre. Il vit une aventure avec la serveuse Lucka. Et il est fier d'avoir donné le premier coup lors de la manifestation praguoise de novembre 1989 qui a amorcé la Révolution de Velours et la chute du communisme tchèque. Dans ces pages, il livre ses « leçons de vie » et déverse ses obsessions, entre rage et autodérision. Épopée universelle pleine d'une poésie brutale et mélancolique, portée par une écriture dense et hallucinée, Avenue nationale plonge le lecteur dans la tête d'un néoextrémiste perdu dans une démocratie en quête d'identité et reflète les paradoxes des idéologies contemporaines.
Notes : Né en 1972, Jaroslav Rudiš est un auteur tchèque surprenant. Il a travaillé comme prof, DJ, manager d’un groupe de punk, journaliste. "La fin des punks à Helsinki" est une ode mélancolique et ironique aux vieux rebelles d’Europe centrale où l’on rencontre Ole, ancienne star du punk est-allemand et gérant du bar Helsinki, et Nancy, une jeune punkette qui tient son journal. Un portrait sur un monde actuel en perte de repères. Il est entre autres l'auteur de Alois Nebel, une bande dessinée qui a fait l'objet d'une adaptation cinématographique (sortie en salles en mars 2012). Avec son dernier livre "Avenue Nationale", qui tend à se définir par la négative : ni vraiment monologue théâtral, ni tout à fait roman, Jaroslav Rudiš nous emmène dans un bar sordide de Prague où Vandam, véritable laissé-pour-compte du monde moderne, fasciné par la violence et les régimes totalitaires, nous donne son avis et grommelle ses frustrations.
rentrée littéraire 2016
Résumé : Vandam, le narrateur, est peintre en bâtiment. Il a connu la dépendance aux drogues et un séjour en prison. Il est fasciné par l'histoire militaire, voue un culte aux grands chefs de guerre et fait ses deux cents pompes par jour. Il se retrouve souvent à la taverne pour boire des bières ou se battre. Il vit une aventure avec la serveuse Lucka. Et il est fier d'avoir donné le premier coup lors de la manifestation praguoise de novembre 1989 qui a amorcé la Révolution de Velours et la chute du communisme tchèque. Dans ces pages, il livre ses « leçons de vie » et déverse ses obsessions, entre rage et autodérision. Épopée universelle pleine d'une poésie brutale et mélancolique, portée par une écriture dense et hallucinée, Avenue nationale plonge le lecteur dans la tête d'un néoextrémiste perdu dans une démocratie en quête d'identité et reflète les paradoxes des idéologies contemporaines.
Notes : Né en 1972, Jaroslav Rudiš est un auteur tchèque surprenant. Il a travaillé comme prof, DJ, manager d’un groupe de punk, journaliste. "La fin des punks à Helsinki" est une ode mélancolique et ironique aux vieux rebelles d’Europe centrale où l’on rencontre Ole, ancienne star du punk est-allemand et gérant du bar Helsinki, et Nancy, une jeune punkette qui tient son journal. Un portrait sur un monde actuel en perte de repères. Il est entre autres l'auteur de Alois Nebel, une bande dessinée qui a fait l'objet d'une adaptation cinématographique (sortie en salles en mars 2012). Avec son dernier livre "Avenue Nationale", qui tend à se définir par la négative : ni vraiment monologue théâtral, ni tout à fait roman, Jaroslav Rudiš nous emmène dans un bar sordide de Prague où Vandam, véritable laissé-pour-compte du monde moderne, fasciné par la violence et les régimes totalitaires, nous donne son avis et grommelle ses frustrations.
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