Et je prendrai tout ce qu'il y a à prendre
Auteurs   Lapertot, Céline (070)
Edition  Viviane Hamy : [Paris] , 2014
Collation   1 vol. (185 p.)
Format   21 cm
indice Dewey   843 fiction francaise francophone romans nouvelles
ISBN   978-2-87858-590-2
Prix   17
Langue d'édition   fre
Sujets   enfance
adolescence
drame
violence
femmes
justice
maltraitance
meurtre
Réservation
SiteNuméroCoteSection / LocalisationEtat
Bibliothèque de POURRAIN DOC-89240-02222 R LAPROMAN / Disponible
Résumé : «J'ai sept ans, ma chambre éclate de beauté, jusqu'à ce que j'entende la porte claquer. La réunion de papa ne s'est pas bien déroulée. Son défouloir officiel courbe sa dépendance. C'est pitié de la voir ainsi, chien soumis, c'est pitié de la voir endosser son rôle, car tel est son destin, demander grâce pour le moment où elle n'arrivera plus à le supporter. Aucune cassure dans la voix, pas de verre pilé dans les sourires, elle avance d'un pas lent et sûr vers la raclée qu'elle a accepté de recevoir. Du haut de mes sept ans, j'ai déjà perçu qu'elle a dépassé le stade où elle cherchait à comprendre ce qui avait pu se passer. Elle encaisse, et son existence lui convient, tant qu'elle peut garnir nos assiettes.Maman est la femme d'intérieur. La femme parfaite pour les hommes qui ne savent se rêver qu'en maîtres de leur petit monde.»Quand la souffrance dépasse l'entendement, ne reste qu'une solution : tuer pour exister. Charlotte a tenu le choc. Elle a gardé le silence, jusqu'au jour...Voici l'histoire d'une inhumanité honteuse, intime, impossible à dire. Dans une lettre adressée au juge devant lequel elle répondra de ses actes, Charlotte, Antigone moderne et fragile, pousse le cri qui la libérera... peut-être."Et je prendrai..." bouleverse son lecteur par la tension dramatique qui en émane et par la justesse des émotions qu'il exprime.
Notes : Née en France, Céline Lapertot est professeur de français. Elle a 27 ans et n’a pas cessé d’écrire depuis l’âge de 9 ans. "Et je prendrai tout ce qu’il y a à prendre" est son deuxième roman publié. Source : Viviane Hamy