Le Sphinx d'or
Titre volume  Alix N°2
Auteurs   Martin, Jacques (1921-2010) (690)
Edition  Casterman : Tournai , 1971
Collation   64 p
Format   30 cm
indice Dewey   741 5 bandes dessinees aspects artistiques ouvrages interdisciplinaires caricatures dessin humour romans image
Prix   30
Langue d'édition   fre
Réservation
SiteNuméroCoteSection / LocalisationEtat
Bibliothèque de POURRAIN DOC-89240-04265 BD MARBD Jeunesse / Disponible
Résumé : Alesia est encerclée par l'armée de Jules César. La situation de Vercingétorix est désespérée, mais il garde l'espoir que d'autres chefs gaulois vont lever une armée pour le secourir. Dans un village proche, les divers clans s'affrontent verbalement. Arrive Alix, fils légitime de l'ancien chef Astorix. Son but est d'intercéder auprès de César pour laisser passer une colonne de vivres aux assiégés. Mais au camp, un émissaire parti d'Alesia est intercepté. Il est porteur d'un ordre de Vercingétorix : rallier les tribus pour attaquer le camp romain et libérer Alesia. Les jours passent, dans la neige. Le siège des machines de guerre est de plus en plus pressant. Vercingétorix décide alors de rendre les armes. Le jour de sa reddition, César reçoit d'un envoyé un petit sphinx en or massif accompagné d'un message. De graves événements se préparent en Egypte. Les agents romains d'Alexandrie disparaissent les uns après les autres. Alix parlant plusieurs langues, César décide de l'envoyer enquêter... Quels dangers vont-ils menacer notre ami à Alexandrie ?... Quelles rencontres -amicales ou non- va-t-il faire ?... Quelle est cette sombre menace qui plane sur l'empire romain ?...
Notes : Jacques MARTIN est né le 25 septembre 1921 à Strasbourg (décédé le 21 01 2010). Signe aussi sous le pseudo de Marleb.Très jeune, il découvre la Bande Dessinée au travers des grands albums allongés de "Buster Brown", par Richard F. Outcault, publiés chez "Hachette". C'est au verso de ces pages qu'il fait ses premiers dessins. La plupart représentent des avions (son père était aviateur) ou des personnages moyenâgeux. Cet engouement pour le dessin se développe en même temps qu'un goût insatiable pour l'histoire. Son enfance chaotique se passe à cultiver ces deux jardins secrets en travaillant sans cesse à la maîtrise des techniques du dessin ainsi qu' à l'apprentissage de sa science de prédilection. Désireux d'entrer aux Beaux-arts, et cela dans l'optique de faire du dessin un métier, il ne parvient toutefois pas à concrétiser entièrement ce rêve. En effet, sa mère et ses tuteurs officiels l'orientent de force vers les Arts et Métiers. Il y reçoit un enseignement purement technique. Il en reconnaîtra lui-même plus tard l'utilité, contraint qu'il fut de se rompre aux rudiments de la perspective et de la descriptive. Cette première formation n'est sûrement pas étrangère à la rigueur obstinée dont Jacques Martin a fait preuve tout au long de son oeuvre et qui a probablement contribué à en faire l'un des trois principaux représentants de l'école dite "de Bruxelles", les deux autres étant Hergé et Edgar Pierre Jacobs bien sûr. La critique a légitimement rapproché le travail de ces trois auteurs qui, en plus de s'être beaucoup fréquentés et d'avoir collaboré en maintes occasions, partageaient un idéal artistique fait de réalisme, de probité et de minutie. Une demi-génération sépare Jacques Martin de ses prestigieux aînés. Il ne commence à publier qu'en 1946, dans l'hebdomadaire "Bravo" où il crée, un peu par hasard, "Monsieur Barbichou". Durant les trois années qui suivent, […]