Belleville Shanghai express |
Compl. Titre | roman |
Auteurs | Lafitte, Philippe (070) |
Edition | Bernard Grasset : Paris , 2015 |
Collation | 1 vol. (279 p.) |
Format | 21 cm |
indice Dewey | 843 fiction francaise francophone romans nouvelles |
ISBN | 978-2-246-85715-0 |
Prix | 18,00 |
Langue d'édition | fre |
Sujets | art mafia origines road movie traditions amour voyages finance histoires de famille Shanghai (Chine) vietnamien |
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Résumé : Au cœur du quartier chinois de Belleville, deux jeunes gens n’auraient jamais dû se rencontrer. Vincent est vietnamien par son père, français par sa mère : une « banane », en argot local. Line est la fille de monsieur Li, ogre du business chinois, protecteur des traditions et des secrets de son passé. Vincent est photographe et serveur dans un restaurant à ses heures, Line fait de brillantes études. Il cherche son père disparu, elle est en quête de liberté ; il étouffe entre sa mère et sa grand-mère, elle est sous la protection rapprochée d’un de ses cousins, Yan, une crapule qui parade en Porsche Cayenne.Deux mondes si proches et si lointains, qui cohabitent mais ne se fréquentent pas. Quand la rencontre a lieu, elle est explosive. Line disparaît au bout du monde et Vincent, seul dans la ville, désespéré, traque Yan et doit déjouer les menaces qui s’amoncellent sur lui, sa famille et son amour.Comment s’affranchir d’un passé qui ne passe pas? Quête des origines sur fond de courses poursuites vers la liberté, Belleville Shanghai Express nous entraîne tambour battant dans le sillage d’une jeunesse aux destins contrariés.
Notes : Philippe Lafitte est né dans les années 60 à Boulogne-Billancourt, de l’autre côté du périphérique parisien. Malgré le bruit, aucun souvenir de la maternité. Enfance banlieusarde, adolescence provinciale, jeunesse parisienne, ce qui est déjà une forme d’aventure, non? L’aventure continue par un Bac littéraire, une année sabbatique, des voyages et des petits boulots. Mais les ballades en auto-stop ne nourissant pas son homme, reprend pour trois ans d’études en Arts graphiques tout en veillant très tard dans des hôtels (veilleur de nuit est le métier idéal pour qui veut devenir écrivain). Devient finalement directeur artistique dans des agences de publicité. La publicité : ses voitures de luxe, ses bureaux designed by Conran, ses pom-pom girls (voir Frédéric Beigbeder). Hélas, la crise économique frappe à nouveau, Kurt Cobain se suicide et les années 80 deviennent un simple fantasme (toujours Frédéric Beigbeder). Pour faire passer la douleur des années de plomb, écrit des nouvelles et fréquente des ateliers d’écriture et de scénario. Réalise un documentaire pas très sobre sur les bistrots parisiens et se noie dans son sujet : le vin. Tentatives de projets télévisuels reportés aux Calandes grecques. Premières nouvelles publiées (Le Matricule des Anges, Libération). Enfin, les années 00 s’annoncent par un miracle existentiel : parution d’un premier roman, “Mille amertumes”, chez Buchet Chastel en 2003. Janvier 2005 annonce la parution d’ “Un monde parfait”, roman aux vertus étrangement prémonitoires : viré du monde de l’entreprise dont il décrit le cauchemar quotidien. Pas d’avenir de cartomancienne en vue mais un troisième roman, toujours chez Buchet-Chastel, prévu en 2006.
Notes : Philippe Lafitte est né dans les années 60 à Boulogne-Billancourt, de l’autre côté du périphérique parisien. Malgré le bruit, aucun souvenir de la maternité. Enfance banlieusarde, adolescence provinciale, jeunesse parisienne, ce qui est déjà une forme d’aventure, non? L’aventure continue par un Bac littéraire, une année sabbatique, des voyages et des petits boulots. Mais les ballades en auto-stop ne nourissant pas son homme, reprend pour trois ans d’études en Arts graphiques tout en veillant très tard dans des hôtels (veilleur de nuit est le métier idéal pour qui veut devenir écrivain). Devient finalement directeur artistique dans des agences de publicité. La publicité : ses voitures de luxe, ses bureaux designed by Conran, ses pom-pom girls (voir Frédéric Beigbeder). Hélas, la crise économique frappe à nouveau, Kurt Cobain se suicide et les années 80 deviennent un simple fantasme (toujours Frédéric Beigbeder). Pour faire passer la douleur des années de plomb, écrit des nouvelles et fréquente des ateliers d’écriture et de scénario. Réalise un documentaire pas très sobre sur les bistrots parisiens et se noie dans son sujet : le vin. Tentatives de projets télévisuels reportés aux Calandes grecques. Premières nouvelles publiées (Le Matricule des Anges, Libération). Enfin, les années 00 s’annoncent par un miracle existentiel : parution d’un premier roman, “Mille amertumes”, chez Buchet Chastel en 2003. Janvier 2005 annonce la parution d’ “Un monde parfait”, roman aux vertus étrangement prémonitoires : viré du monde de l’entreprise dont il décrit le cauchemar quotidien. Pas d’avenir de cartomancienne en vue mais un troisième roman, toujours chez Buchet-Chastel, prévu en 2006.
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