Belle de jour
Auteurs   Kessel, Joseph (070)
Edition  Gallimard : Paris , 2002
Collection   Collection Folio N°125
Collation   176 p.
Format   18 cm
indice Dewey   843 9 oeuvres fiction francaises 1900 1945
ISBN   978-2-07-036125-0
Prix   5.50
Langue d'édition   fre
Sujets   adapté au cinéma
bourgeoisie
années 20
maladie
culpabilité
décadence
folie
drame
amour
adultère
couple
prostitution
Réservation
SiteNuméroCoteSection / LocalisationEtat
Bibliothèque de POURRAIN DOC-89240-02475 R KESROMAN / Disponible
Résumé : «Ce que j'ai tenté avec Belle de Jour, c'est de montrer le divorce terrible entre le cœur et la chair, entre un vrai, immense et tendre amour  et l'exigence implacable des sens. Ce conflit, à quelques rares exceptions près, chaque homme, chaque femme qui aime longtemps, le porte en soi. Il est perçu ou non, il déchire ou il sommeille, mais il existe.»Joseph Kessel.
Notes : Joseph Kessel est un journaliste et écrivain français né à Villa Clara (Argentine), le 10/02/1898. Fils de Samuel Kessel, médecin juif d’origine lithuanienne qui vint passer son doctorat à Montpellier, puis partit exercer en Amérique du Sud, Joseph Kessel vécut en Argentine, pour être emmené ensuite de l’autre côté de la planète, à Orenbourg, sur l’Oural (entre 1905 et 1908), avant de revenir s’installer en France. Il fit ses études secondaires au lycée Masséna, à Nice, puis au lycée Louis-le-Grand, à Paris. Il obtient en 1915 sa licence de lettres et se trouva engagé, à dix-sept ans, au Journal des Débats, dans le service de politique étrangère. Ainsi, quand le conflit s’acheva et que Kessel, dès qu'il eut atteint sa majorité, demanda la nationalité française, il portait la croix de guerre, la médaille militaire. Son premier ouvrage, "La Steppe rouge" était un recueil de nouvelles sur la révolution bolchevique. Après "L’Équipage" (1923), qui faisait entrer l’aviation dans la littérature, il publia "Mary de Cork", "Les Captifs" (grand prix du roman de l’Académie française en 1926)," Nuits de princes", "Les Cœurs purs", "Belle de jour", "Le Coup de grâce", "Fortune carrée" (qui était la version romanesque de son reportage Marché d’esclaves), "Les Enfants de la chance", "La passante du Sans-souci", ainsi qu’une très belle biographie de "Mermoz, l’aviateur héroïque" qui avait été son ami. Correspondant de guerre en 1939-40, il rejoignit après la défaite la Résistance (réseau Carte), avec son neveu Maurice Druon. En Mai 1943, les deux hommes composaient les paroles du « Chant des Partisans », voué à devenir le chant de ralliement de la Résistance. Il est décédé à Avernes le 23/07/1979.