Comme tous les après-midi |
Compl. Titre | Mes̱l-e hamieh-ye ʿasr-hā, nouvelles |
Auteurs | Pirzâd, Zoyâ (070) Balaÿ, Christophe (730) |
Edition | Zulma : Paris , 2015 |
Collection | Z a (Paris) N°17 |
Collation | 1 vol. (131 p.) |
Format | 18 cm |
indice Dewey | 891 5 litteratures iranienne persane |
ISBN | 978-2-84304-725-1 |
Prix | 7,95 |
Langue d'édition | per |
Sujets | nouvelles poésie Fantastique tendresse art de vivre nostalgie onirique vie quotidienne condition de la femme histoire de femmes philosophie littérature iranienne |
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Contient :
Ce recueil contient 18 nouvelles : Histoire du lapin et de la tomate, Les voisines, Sur le rebord de la fenêtre, Le mug, L'hiver, La tache, Le banc d'en face, Une vie, La mouche, Comme le printemps, L'heureuse vie de Monsieur F., Les fleurs au centre de ce couvre-lit, Madame F. est une femme heureuse, Les pétunias de Raheleh, Une paire de bas, Les sauterelles, Comme tous les après-midi, Dépareillées.
Résumé : Alieh, Rowshanak ou Raheleh sont souvent à leur fenêtre. Entre riz pilaf aux lentilles et les pétunias, le voile et une paire de bas, le mari, les enfants, les aïeuls ou les voisines, elles guettent ce qui va venir conforter ou bousculer leurs habitudes.Au fil des saisons et des générations de femmes, flotte sur ce recueil de nouvelles un parfum de mystère étrange et pénétrant. Par touches légères, se dessine en filigrane, parfois à la lisière du fantastique, un portrait discret mais audacieux de la femme iranienne.Dans un style sobre, Zoyâ Pirzâd épingle comme un papillon rare la fuite du temps et déjoue d’un regard incisif les pièges de la vie quotidienne.
Notes : Romancière, nouvelliste, Zoyâ Pirzâd est née à Abadan [en Iran], en 1952, d’un père iranien d’origine russe par sa mère et d’une mère arménienne. Mariée, mère de deux garçons, elle débute sa carrière d'écrivain après la révolution de 1979. Elle a d’abord publié trois recueils de nouvelles dont "Comme tous les après-midi", en 1991. Trois recueils repris aux éditions Markaz à Téhéran en un seul volume. En 2001, elle a publié un roman, "C’est moi qui éteins les lumières", salué par de nombreux prix, dont le prix du meilleur livre de l'année. En 2004 elle publie: "On s’y fera" roman très remarqué. Zoyâ Pirzâd est aussi traductrice d’Alice au pays des merveilles de Lewis Carol et de poèmes japonais. Elle fait partie des auteurs iraniens qui font sortir l’écriture persane de ses frontières et l’ouvrent sur le monde. Sa langue est un persan simple et quotidien, une langue très équilibrée. La leçon ultime de Zoyâ Pirzâd est humaniste.
Ce recueil contient 18 nouvelles : Histoire du lapin et de la tomate, Les voisines, Sur le rebord de la fenêtre, Le mug, L'hiver, La tache, Le banc d'en face, Une vie, La mouche, Comme le printemps, L'heureuse vie de Monsieur F., Les fleurs au centre de ce couvre-lit, Madame F. est une femme heureuse, Les pétunias de Raheleh, Une paire de bas, Les sauterelles, Comme tous les après-midi, Dépareillées.
Résumé : Alieh, Rowshanak ou Raheleh sont souvent à leur fenêtre. Entre riz pilaf aux lentilles et les pétunias, le voile et une paire de bas, le mari, les enfants, les aïeuls ou les voisines, elles guettent ce qui va venir conforter ou bousculer leurs habitudes.Au fil des saisons et des générations de femmes, flotte sur ce recueil de nouvelles un parfum de mystère étrange et pénétrant. Par touches légères, se dessine en filigrane, parfois à la lisière du fantastique, un portrait discret mais audacieux de la femme iranienne.Dans un style sobre, Zoyâ Pirzâd épingle comme un papillon rare la fuite du temps et déjoue d’un regard incisif les pièges de la vie quotidienne.
Notes : Romancière, nouvelliste, Zoyâ Pirzâd est née à Abadan [en Iran], en 1952, d’un père iranien d’origine russe par sa mère et d’une mère arménienne. Mariée, mère de deux garçons, elle débute sa carrière d'écrivain après la révolution de 1979. Elle a d’abord publié trois recueils de nouvelles dont "Comme tous les après-midi", en 1991. Trois recueils repris aux éditions Markaz à Téhéran en un seul volume. En 2001, elle a publié un roman, "C’est moi qui éteins les lumières", salué par de nombreux prix, dont le prix du meilleur livre de l'année. En 2004 elle publie: "On s’y fera" roman très remarqué. Zoyâ Pirzâd est aussi traductrice d’Alice au pays des merveilles de Lewis Carol et de poèmes japonais. Elle fait partie des auteurs iraniens qui font sortir l’écriture persane de ses frontières et l’ouvrent sur le monde. Sa langue est un persan simple et quotidien, une langue très équilibrée. La leçon ultime de Zoyâ Pirzâd est humaniste.
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