Les sabots d'Angèle
Titre volume  Les chemins de nos pères. N°[2]
Titre de Partie  Les chemins de nos pères.
Auteurs   Coulonges, Georges (070)
Edition  France loisirs : Paris , 1992
Collection   Les chemins de nos pères. N°[2]
Collation   293 p.
Format   23 cm
indice Dewey   843 fiction francaise francophone romans nouvelles
ISBN   978-2-7242-6755-6
Prix   11,90
Langue d'édition   fre
Sujets   résistance
école
quotidien
traditions
amour
guerre
social
roman du terroir
Réservation
SiteNuméroCoteSection / LocalisationEtat
Bibliothèque de POURRAIN DOC-89240-01695 RT COUROMAN DE TERROIR / Disponible
Contient :
Fait suite à "Les sabots de Paris"
Résumé : 1846, aux confins de la Creuse. La grêle et le gel persistants qui s’acharnent sur le pays ruinent les récoltes, provoquant misère et famine. Tous ceux qui le peuvent fuient vers la capitale : Sylvestre Chabrol et sa femme Angèle n’ont pas le choix. Mais la faim, l’injustice et l’oppression règnent aussi dans un Paris en pleine ébullition. Le couple s’engage alors dans une lutte incertaine pour sa survie. Tandis qu’Angèle s’émancipe, apprend à lire et participe à toutes les luttes sociales, Sylvestre, lui, accablé par un lourd secret, s’enfonce dans un déchirant silence, ignorant la révolution de 1848 qui gronde au loin...
Notes : Né à Lacanau , le 04/047/1923, mort à Pern , le 12/06/2003 , Georges Coulonges était un écrivain et un scénariste français. Écrivain aux talents multiples, Georges Coulonges fut d'abord auteur pour les plus grands chanteurs francophones : Jean Ferrat, Nana Mouskouri, Marcel Amont… Issu d'un milieu modeste, Georges Coulonges devient comédien après la Seconde Guerre mondiale, et assez vite, entre comme bruiteur à la radio, avant de devenir producteur d'émissions de variétés radiodiffusées. À la radio et sur scène, il est pendant quatre ans « le receveur Julien », un joyeux employé du tramway. En 1956, il « monte » à Paris pour écrire, notamment des chansons. En 1965, sa chanson Potemkine est déprogrammée de l'émission Têtes de bois et tendres années. Diverses personnalités s'insurgeront de cette censure de l'ORTF. Touche-à-tout très engagé socialement, Georges Coulonges a été résistant et membre du Parti communiste français (1964-1971). Source : Wikipédia