Récif |
Compl. Titre | Arrecife, roman |
Auteurs | Villoro, Juan (070) Gugnon, Isabelle (730) Barbara, Juliette (730) |
Edition | Buchet-Chastel : Paris , 2013 |
Collation | 1 vol. (281 p.) |
Format | 21 cm |
indice Dewey | 860 litterature langue espagnole |
ISBN | 978-2-283-02663-2 |
Prix | 20 |
Langue d'édition | spa |
Sujets | récits chroniques parodie ironie Polars terreur quête occident décadence Enlèvement mexicain drogue folie crise économique littérature sud-américaine Sports extrêmes rock and roll meurtre littérature mexicaine Mexique |
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Résumé : La côte mexicaine des Caraïbes, autrefois paradisiaque, a désormais tout d’un enfer sur terre. Les aléas climatiques, la crise économique et le délitement général du pays ont tué le business mais attiré un nouveau type de touristes, adeptes de sensations fortes. Un seul complexe hôtelier, situé à l’orée d’une immense barrière de corail et géré par Mario Müller, ex-leader du groupe de rock mexicain les Extraditables, semble survivre : la Pyramide. L’établissement propose une plongée dans la terreur mexicaine : faux kidnapping par de pseudo-guérilleros, rencontre avec des mygales, pratique de sports extrêmes sans filet. Un an après l’arrivée de Tony Góngora, l’âme damnée de Müller, son ancien compagnon de bohème rock, ex-junkie, la folie gagne peu à peu les lieux. Un membre de l’équipe est assassiné. Sous ces tristes tropiques ravagés par la cupidité des uns et la veulerie des autres, Tony, avec l’indolence des désespérés, part à la recherche de la vérité. Roman postmoderne, Récif est une balade mélancolique et réflexive dans les tréfonds de l’âme contemporaine, en même temps qu’un saisissant aperçu des maux qui ravagent le Mexique.
Notes : Né à Mexico , le 24/09/1956,Romancier, essayiste, nouvelliste, chroniqueur, scénariste et traducteur mexicain, Juan Villoro, est bien l’une des voix majeures de l’univers littéraire et artistique de son temps. Après une expérience dans le monde des affaires diplomatiques, Juan Villoro a pratiqué la traduction, enseigné à l’université et beaucoup œuvré dans le journalisme culturel. Vite reconnu comme auteur essentiel de sa génération grâce à la publication de ses nouvelles, c’est avec le roman El disparo de Argón (Le maître du miroir) qu‘il a acquis une réputation internationale. Sociologue de formation et chroniqueur, Juan Villoro sait faire réfléchir et sourire le lecteur, réconcilier la lucidité cruelle de la fable et les rêveries de l’espace romanesque. C’est avec son troisième roman, El testigo (Le témoin), que Juan Villoro réussit à faire la somme de ses qualités de narrateur. Salué par le prestigieux prix Herralde en 2004, ce livre a la résonance des œuvres majeures, en donnant le sentiment qu’il est le plus mexicain des romans, tout en étant le plus universel possible
Notes : Né à Mexico , le 24/09/1956,Romancier, essayiste, nouvelliste, chroniqueur, scénariste et traducteur mexicain, Juan Villoro, est bien l’une des voix majeures de l’univers littéraire et artistique de son temps. Après une expérience dans le monde des affaires diplomatiques, Juan Villoro a pratiqué la traduction, enseigné à l’université et beaucoup œuvré dans le journalisme culturel. Vite reconnu comme auteur essentiel de sa génération grâce à la publication de ses nouvelles, c’est avec le roman El disparo de Argón (Le maître du miroir) qu‘il a acquis une réputation internationale. Sociologue de formation et chroniqueur, Juan Villoro sait faire réfléchir et sourire le lecteur, réconcilier la lucidité cruelle de la fable et les rêveries de l’espace romanesque. C’est avec son troisième roman, El testigo (Le témoin), que Juan Villoro réussit à faire la somme de ses qualités de narrateur. Salué par le prestigieux prix Herralde en 2004, ce livre a la résonance des œuvres majeures, en donnant le sentiment qu’il est le plus mexicain des romans, tout en étant le plus universel possible
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