Trois jours chez ma mère |
Compl. Titre | roman |
Auteurs | Weyergans, François (070) |
Edition | B. Grasset : Paris , 2005 |
Collation | 1 vol. (262 p.) |
Format | 21 cm |
indice Dewey | 803 |
ISBN | 978-2-246-54591-0 |
Prix | 17,50 EUR |
Langue d'édition | fre |
Sujets | autobiographie fiction drame vin dépression relation mère-fils prix goncourt autofiction littérature belge 21ème siècle |
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Résumé : Le héros de ce roman, un homme désemparé, décide, le jour de ses cinquante ans, d'annuler tous ces rendez-vous afin d'essayer de savoir où il en est. Il voudrait changer de vie, de métier, de femme, de ville, et même d'époque ! "Je refuse, se dit-il, le côté vomitoire de celui qui se penche sur son passé, je veux m'élancer vers le futur". Cependant, il ne peut s' abolir ce passé dont il voudrait se délivrer. Il se souvient d'un voyage de deux mois, en Italie et en Grèce, avec sa femme. Ce voyage a failli les séparer, mais le souvenir qu'il en garde le rend amoureux d'elle. Et pourtant, affirme-t-il, "j'aurais passé ma vie à souhaiter vivre avec d'autres femmes qu'elle".
Notes : Nationalité : Belgique Né(e) à : Etterbeek , le 9 décembre 1941 François Weyergans, né le 9 décembre 1941 à Etterbeek (Région de Bruxelles-Capitale) en Belgique, est un écrivain et réalisateur belge francophone. Il a reçu le Prix Goncourt en 2005 pour son roman Trois jours chez ma mère et est membre de l'Académie française. Fils d'un père belge, Franz Weyergans, écrivain lui aussi, et d’une mère avignonnaise , il a mené sa scolarité dans la même école qu'Hergé, l'Institut Saint-Boniface-Parnasse. Il suit ensuite les cours de l'Institut des hautes études cinématographiques (IDHEC) et se passionne pour Bresson et Godard. Il écrira dans les Cahiers du cinéma avant de réaliser en 1961 un premier film sur Maurice Béjart. À la suite d'une analyse, il publie en 1973 un compte rendu sarcastique de sa cure. C'est la substance de son roman Le Pitre, remarqué par la critique, qui obtient le prix Roger-Nimier. Puis, en 1981, Macaire le Copte (Gallimard) est consacré par le prix Rossel en Belgique et obtient aussi le prix des Deux Magots en France. Dès lors, Weyergans se voue entièrement à la littérature, travaillant la nuit, de onze heures du soir au lendemain midi. Le Radeau de la méduse (Gallimard, Paris, 1983) reçoit le prix Méridien des quatre jurys. Il écrit aussi Franz et François, allusion à son père et à lui-même, La Vie d'un bébé. Son roman Trois jours chez ma mère obtient le prix Goncourt en 2005. Il a été élu le 26 mars 2009 à l'Académie française au fauteuil de Maurice Rheims, laissé vacant par le décès d'Alain Robbe-Grillet. Source : Wikipédia
Notes : Nationalité : Belgique Né(e) à : Etterbeek , le 9 décembre 1941 François Weyergans, né le 9 décembre 1941 à Etterbeek (Région de Bruxelles-Capitale) en Belgique, est un écrivain et réalisateur belge francophone. Il a reçu le Prix Goncourt en 2005 pour son roman Trois jours chez ma mère et est membre de l'Académie française. Fils d'un père belge, Franz Weyergans, écrivain lui aussi, et d’une mère avignonnaise , il a mené sa scolarité dans la même école qu'Hergé, l'Institut Saint-Boniface-Parnasse. Il suit ensuite les cours de l'Institut des hautes études cinématographiques (IDHEC) et se passionne pour Bresson et Godard. Il écrira dans les Cahiers du cinéma avant de réaliser en 1961 un premier film sur Maurice Béjart. À la suite d'une analyse, il publie en 1973 un compte rendu sarcastique de sa cure. C'est la substance de son roman Le Pitre, remarqué par la critique, qui obtient le prix Roger-Nimier. Puis, en 1981, Macaire le Copte (Gallimard) est consacré par le prix Rossel en Belgique et obtient aussi le prix des Deux Magots en France. Dès lors, Weyergans se voue entièrement à la littérature, travaillant la nuit, de onze heures du soir au lendemain midi. Le Radeau de la méduse (Gallimard, Paris, 1983) reçoit le prix Méridien des quatre jurys. Il écrit aussi Franz et François, allusion à son père et à lui-même, La Vie d'un bébé. Son roman Trois jours chez ma mère obtient le prix Goncourt en 2005. Il a été élu le 26 mars 2009 à l'Académie française au fauteuil de Maurice Rheims, laissé vacant par le décès d'Alain Robbe-Grillet. Source : Wikipédia
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